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 Le culte d'Einhasad

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Zoé
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Zoé


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MessageSujet: Le culte d'Einhasad   Le culte d'Einhasad Icon_minitimeMer 25 Juil - 15:39

Le culte d'Einhasad


Einhasad est la déesse de la création, vénérée par les humains.
Certains prétendent qu’Einhasad ne serait pas seule à l’origine du peuple humain mais par sa nature même il ne peut en être autrement.
Et quoiqu’en disent certains, les humains doivent beaucoup à la déesse de la création: sans sa furie vengeresse les peuples esclaves ne serraient jamais devenus libres. Les elfes n'auraient alors pas eu recours à l'éducation des humains et ne leur auraient jamais permis de devenir un jour l'une des plus grandes puissances de ces terres.

Dans un premier temps Einhasad fut vénérée en tant que déesse de la création, avec tous les hommages et rituels qui lui étaient dus, ses fidèles ne se comptaient plus et bientôt elle s'imposa logiquement comme étant la religion officielle humaine.
Ce succès était du en grande partie à la grande persuasion des prêtres et à leur talents d'orateurs. De plus, ces derniers étaient aussi de grands soigneurs et guérisseurs.

Au fil du temps, un second courant religieux partant d'Einhasad se développa. Certains qualifièrent ce mouvement de mouvement justicier, des guerriers dévoués à Einhasad utilisèrent leurs pouvoirs pour protéger le peuple et combattre les infamies commises par les hérétiques ne reconnaissant pas la Déesse Mère, et ainsi amener la justice divine sur terre. Ces guerriers sont connus sous le nom de paladins.
Les paladins imposèrent les lois humaines pendant de nombreuses années sur le territoire permettant ainsi de maintenir un certain ordre parmi le peuple.

Le temps passa et bientôt les deux courants ne purent plus se distinguer et Einhasad devint finalement déesse de justice et de création. L'ordre ainsi créé formait une élite de combattants soutenus par de grands prêtres.

De nos jours, l’ordre ne distingue plus clairement les guerriers des prêcheurs ; tous sont prêtres (ou prêtresses), quelque soit le moyen qu’ils choisissent pour rendre grâce à Einhasad.

Quand un homme quel qu'il soit choisit d'emprunter la voie d'Einhasad, il doit tout d’abord passer le rite de la sagesse. Ce rite permet d'éprouver la foi d'un homme. Le candidat doit se rendre au temple puis passer une nuit complète en prière accompagné d'un prêtre. Celui-ci veillera à mettre le postulant sur le chemin de la déesse.
On raconte qu'Einhasad apparaît à lui dans la nuit qui suit et lui indique le maître auprès duquel il devra chercher les enseignements.

Si le maître reconnaît son élève, le candidat devient disciple de l'ordre.

Le disciple ne doit donc suivre les enseignements de son maître et l'assister dans ces oeuvres.
Un disciple doit toujours suivre les ordres d'un prêtre. Il lui doit respect et obéissance.

Le disciple, s’il a fait ses preuves peut prétendre devenir prêtre, pour cela il devra effectuer un pèlerinage seul de 5 jours, coupé du reste de l'humanité afin de méditer sur son sort et de renforcer ses liens avec la déesse. Pendant cette période, le prêtre passera des épreuves que lui imposeront les dieux.
Ce rituel est assez mystérieux car seule Einhasad choisit ses prêtres et leur impose des épreuves.

Une fois le rituel effectué, ce prêtre nouvellement formé, peut choisir une vie d’errance pour répandre la parole d'Einhasad sur les terres.
S’il le souhaite, il peut aussi s'associer à une paroisse parmi les villes pour ainsi assister le grand prêtre de la ville.
Les prêtres ont pour devoir de venir en aide aux fidèles et aux hommes dans le besoin. En retour, ils recevront le couvert et le logis où qu'ils soient sur les terres humaines.

Certains prêtres peuvent, au fil du temps établir de plus grands liens avec la déesse, ces derniers sont connus sous le nom d'omniscients. Il n'existe que quelques omniscients de part le monde et beaucoup leur trouvent des bizarreries dans leur comportement, il semblent être en permanence en contact avec la déesse et leur paroles sont pleines de mystères.



Les concepts de la religion


La réincarnation : La mort n’est autre que la reprise de possession par Einhasad de son œuvre. Par la mort, Einhasad reprend la matière de vie qu’elle a accordé un temps au défunt. Ce n’était qu’un prêt, car l’immortalité lui fait horreur depuis le sacrilège commis par les géants.
Avec la matière de vie reprise, Einhasad pourra créer à nouveau, à la manière d’un enfant qui fait, défait et refait sans cesse son œuvre en pâte à modeler.

Un défunt ayant reçu les sacrements des prêtres et prêtresses d’Einhasad est assuré que son âme rejoindra sa déesse. Ce sacrement le protège, empêchant Gran Kain de s’accaparer de son âme, sa matière de vie, après sa mort.
La matière de vie remise entre les mains d’Einhasad pourra ainsi redevenir vie à part entière, sous quelque forme que ce soit : humain, animal, végétal. Seule Einhasad peut faire ce choix, car elle a à cœur de maintenir l’équilibre de la vie.


Les différentes représentations d’Einhasad : La déesse représente plusieurs concepts, et elle a plusieurs visages selon les circonstances.

Einhasad est tout d’abord la déesse de la création. Elle est à l’origine de tout, monde vivant aussi bien que monde non vivant. Notre labeur, par chacune de ses créations, est une reproduction à notre échelle de la création divine. C’est pourquoi il est de coutume d’offrir à Einhasad une partie du fruit de notre travail, en remerciement pour ce don de création, d’imitation.

Il découle de ce visage de la déesse, celui de la Mère. Ce terme que nous employons couramment désigne la créatrice du peuple humain en particulier. C’est elle que nous vénérons lors des naissances, mais aussi des mariages et toutes les étapes de notre vie car la déesse nous veille de son regard maternel.

Einhasad est la Lumière. Par opposition a son époux Gran Kain, mais aussi parce que la lumière est la source de la vie.

Certains considèrent aussi qu’Einhasad est la déesse de l’Equilibre. C’est pourquoi elle est parfois représentée tenant une balance. Comme nous l’avons dit, elle veille à l’équilibre de la vie, la reprenant parfois et la redistribuant parmi les hommes, animaux et végétaux.
Elle n’est cependant pas la justice car c’est une déesse irritable qui parfois abat son ire sur ses enfants. Les Géants l’ont compris a leurs dépends. Le caractère d’Einhasad se retrouve au final bien dans celui de ses enfants, les humains, elle est capable de bienveillance mais aussi de colères terribles.

Enfin, la dernière image de la déesse est celle qui la montre lors du processus de réincarnation. Certains artistes la représentent alors comme un enfant qui fait, défait et refait sans cesse son œuvre en pâte à modeler.
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Zoé
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MessageSujet: (suite)   Le culte d'Einhasad Icon_minitimeMer 25 Juil - 15:43

Le clergé

Toutes personne, humaine, âgée de plus de quatorze ans et désireuse de suivre la voie de la religion peut devenir novice et ainsi espérer devenir un jour prêtre d’Einhasad.
Il n’y a pas de distinction de sexe, de naissance ou de fortune car nous sommes tous des Enfants d’Einhasad et c’est à ce titre que nous demandons d’intégrer son clergé.
Le clergé n’interdit pas à ses membres d’exercer un autre métier en dehors de ses fonctions de clerc mais elles prévaudront sur toute autre activité. La voie des armes ou de la magie ne sont pas non incompatibles avec le statut de novice ou prêtre, à l’exception de la nécromancie, formellement proscrite car contraire aux préceptes de notre déesse.


La Hiérarchie :

* Un prêtre (ou prêtresse) a sous sa tutelle un ou plusieurs disciples. Il est chargé de leur enseigner les principes de la religion, et de leur apprendre à officier lors des diverses cérémonies.
* Pour chaque temple (un par ville), un prêtre (ou prêtresse) en a la direction. Il sera le gardien du Temple et aura le titre de Vénérable. Il y aura ainsi le Vénérable de Dion, le Vénérable d'Aden, celui de Giran... Chacun d'eux sera chargé des cérémonies en son temple et représentera le clergé d'Einhasad auprès des autorités de la ville (rôle politique).
* Un conseil de ces responsables de temples aura lieu régulièrement afin de maintenir une politique commune.
* Pour les prêtres (ou prêtresses) n'ayant pas la direction d'un temple, ils pourront choisir entre la vie d'errance, parcourant les villes, ou bien s'attacher à un temple, où ils assisteront le prêtre en charge de celui-ci.
Les prêtres errants trouveront toujours asile dans tous les temples du continent, où ils seront accueillis, nourris, logés et où ils pourront officier.
* Les disciples devront suivre le prêtre enseignant, qu'il soit errant ou sédentaire.



Les lois dans l'ordre d'Einhasad:


La loi de la vie : Un membre doit respecter les créatures vivantes et la nature qui l'entourent car ils sont la création de la déesse.

La loi de la foi : Un membre doit répandre la foi aux hommes, il doit aussi conseil et aide aux personnes le réclamant.

La loi des dieux : Un membre doit tolérer les autres cultes tant que ceux-ci sont liés aux descendants d'Einhasad, il n'a pourtant aucune obligation vis à vis de ceux-ci.

La loi de la gratitude : Un membre doit remercier régulièrement Einhasad pour sa bonté, son don de vie. La gratitude peut s’exprimer au moyen de messes en Son honneur, d’offrandes ou de toutes sortes d’actions fêtant la création, la lumière ou la réincarnation des vivants.



Les rituels

La naissance :

La naissance d’un être est vue par les fidèles d’Einhasad comme la manifestation la plus grandiose de Sa bonté. Chaque naissance est une nouvelle création de la déesse et se doit d’être fêtée comme telle.

Dès qu’une femme est assurée de porter en elle le fruit d’Einhasad, elle viendra au Temple le plus proche de sa résidence pour déposer une offrande et remercier la Mère pour son présent. Si elle le souhaite, une messe pourra être dite en l’honneur du futur fils d’Einhasad.

A partir de cet instant, la femme portant en elle ce germe sera vue comme bénie d’Einhasad qui aura utilisé son corps comme réceptacle à son œuvre.
Tous les égards seront portés envers la femme enceinte, du moment de la conception jusqu'à l’enfantement. Elle sera dispensée des travaux pénibles et sera sous la protection du culte. Nourrir, protéger, accueillir en son foyer une femme enceinte dans le besoin est un devoir et un acte de ferveur adressé à Einhasad.

Un prêtre ou une sage-femme représentant le culte devra assister à l’enfantement. C’est au moment de la découpe du cordon, véritable reconnaissance de la création achevée, que le nouveau né perdra le titre d’œuvre divine et gagnera son statu d’enfant d’Einhasad. La mère désignera alors le nom de l’enfant et ce nom sera béni par le prêtre, car il est reconnu que c’est Einhasad qui parle alors par sa bouche, les douleurs de l’enfantement étant là pour nous rappeler la difficulté à parler en Son nom.

Les cloches du temple le plus proche sonneront alors à toutes volées pour annoncer à tous la bonne nouvelle et remercier notre déesse de son présent. Une cérémonie de remerciement sera également organisée, au cours de laquelle la famille bienheureuse fera une offrande à Einhasad.


Il est à noter que la naissance hors mariage ne fera pas l’objet d’un régime différent, nous ne sommes pas a meme de juger des choix de notre déesse.
Son œuvre sera toujours vénérée de la meme manière, que l’enfant soit de haute lignée ou non, et que sa famille soit aisée ou pas.


Le mariage


Le mariage est l’union de deux enfants d’Einhasad sous Sa bénédiction. C’est une cérémonie d’amour : amour des deux époux, amour de leur famille terrestre pour ces jeunes gens, amour de notre Mère divine pour tous Ses enfants.
C’est une cérémonie de gaieté, publique, qui sera ouverte à tout fidèle d’Einhasad.

Le lieu du mariage est au choix du couple : avec l’accord du prêtre ou de la prêtresse désigné pour célébrer l’union, le mariage pourra se dérouler dans un temple, ou bien dans tout autre lieu déterminé à l’avance (château, salle de réception, extérieur...)

La cérémonie se déroulera en 2 temps :
- Tout d’abord, le prêtre ou la prêtresse rappellera notre redevance envers Einhasad car elle est seule mère de notre existence. Ensemble, tous les fidèles la remercieront alors pour leur avoir accordé la Vie.
- Puis ce sera l’union des futurs époux : Par un dialogue guidé par le prêtre, les deux prétendants au mariage s’assureront leur souhait mutuel d’union. Ils se prendront la main et le prêtre leur liera ces mains jointes avec un cordon. Enfin, le vin sera partagé : le prêtre boira une gorgée, puis les deux nouveaux époux, dans le meme verre. Enfin, tous les convives se verront offrir une gorgée de vin, symbole de leur assentiment pour ce mariage.

Le reste de la fête est au choix des époux, qui pourront offrir un repas aux invités ou organiser des réjouissances à leur convenance. Seuls les combats, même festifs, sont interdits, car ils sont contraires à la volonté de don de Vie de notre déesse.

La tradition veut que chaque époux conserve la moitié du cordon du mariage comme symbole de leur union.


La mort

Certains, même parmi les fidèles d’Einhasad, s’en prennent à Gran Kain lorsqu’un proche a perdu la vie.
Mais les prêtres et prêtresses d’Einhasad veillent à ramener ces croyants vers la vérité et à les réconcilier avec la mort.

La mort n’est autre que la reprise de possession par Einhasad de son œuvre. Par la mort, Einhasad reprend la matière de vie qu’elle a accordé un temps au défunt. Ce n’était qu’un prêt, car l’immortalité lui fait horreur depuis le sacrilège commis par les géants.
Avec la matière de vie reprise, Einhasad pourra créer à nouveau, à la manière d’un enfant qui fait, défait et refait sans cesse son œuvre en pâte à modeler.

Le prêtre ou la prêtresse célébrant la cérémonie d’adieu rappelle ces principes chers à notre religion. Puis le corps sera déposé dans un trou, à même le sol, et ensuite recouvert d’une pierre. L’enterrement se fera de préférence dans un cimetière avec un monument à la gloire d'Einhasad pour que le corps repose sous sa protection, en attendant que l'âme se réincarne.
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Zoé
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MessageSujet: (suite)   Le culte d'Einhasad Icon_minitimeMer 25 Juil - 15:44

Les fêtes religieuses


Calendrier des fêtes religieuses :(pour les dates, se reporter au calendrier des fêtes humaines)

* Célébration du renouveau : (printemps)
* Le jour de la Lumière (solstice d’été)
* Les Longues Nuits
* Le Nouvel An


Les Longues Nuits :
Cette période de l’année débute au solstice d’hiver et prend fin avec la célébration du Nouvel An. C’est une semaine consacrée à la prière et doit être chômée.
Les Longues Nuits sont pour nous le souvenir de la colère d’Einhasad à l’encontre de l’arrogance folle des géants. Quand Einhasad partit chasser les géants, armée du Marteau du Désespoir, les suivant toujours plus loin vers l’Est, la lumière se fit absente.
Les Longues Nuit sont un rappel pour nous empêcher de commettre la même erreur que les géants et garder à l’esprit que nous devons tout à notre Déesse, seule détentrice du pouvoir de création.
Les Longues Nuits nous rappellent notre humilité.


Le Nouvel An :
Le Nouvel An marque la fin des Longues Nuits.
Einhasad, comprenant que son rôle n’était pas la destruction, accepta d’abandonner les géants a leur emprisonnement éternel sur la parcelle minuscule de terre stérile qu’ils avaient fini par atteindre. Elle revint alors éclairer le monde de sa Lumière.
Le Nouvel An est un jour de liesse et dure un jour et une nuit entiers.
Une coutume populaire et encouragée des prêtres d’Einhasad est de se grimer en géant et de faire mille pitreries. Nous n’oublions pas que ce fut un grand peuple, mais n’oublions pas non plus qu’ils causèrent leur propre perte.
Les prêtres et prêtresses d’Einhasad sont souvent les premiers à jouer le jeu des géants, organisant parfois des pièces de théâtre burlesques autour de ce thème.


Célébration du renouveau :
Des messes sont dites sur tout le continent, toujours en extérieur. La nature et sa nouvelle vie, œuvre de notre Déesse, sont à l’honneur.
Les jeunes filles ont pris l’habitude pendant toute une période qui suit cette célébration d’embellir leurs coiffures de fleurs coupées.


Le jour de la Lumière :
Le jour le plus long est celui que nous appelons le jour de la Lumière.
De nombreuses offrandes sont faites à Einhasad. Ce sont en général des créations personnelles, souvent en rapport avec l’activité de chacun : un produit d’artisanat, un plat sortant à peine de nos fours, le fruit de notre travail aux champs.


[edit : ceci est un copié/collé du post' de Adie sur l'histoire des humains]
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